Végans et Végétariens : comment éviter la Fatigue Chronique ?

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La fatigue chronique s’apparente à une fatigue constante, difficile à soulager grâce au repos.

Ce syndrome touche davantage les femmes que les hommes. Il est également récurrent chez les végétariens et les végans, plus enclins à souffrir de carences alimentaires.

Cependant, il est tout à fait possible d’éviter au maximum les risques de fatigue chronique même lorsque l’on suit un régime sans viande. Retrouvez ici nos conseils.

 

La fatigue chronique : qu’est-ce que c’est ?

Vous souffrez peut-être de fatigue chronique, si vous avez ressenti, pendant 6 mois ou plus, 4 symptômes parmi les suivants :

  • troubles de la mémoire,
  • troubles de la concentration,
  • ganglions lymphatiques sensibles ou enflés dans le cou ou les aisselles,
  • douleurs articulaires,
  • douleurs musculaires,
  • maux de tête,
  • sommeil non réparateur,
  • malaise généralisé,
  • baisse d’énergie,
  • sensation de fatigue au réveil,
  • irritabilité,
  • hypersensibilité au stress,
  • tendance à la mélancolie et à la déprime,
  • extrême maladresse,
  • sexualité perturbée.

D’autres symptômes, tels que des troubles intestinaux, des sueurs ou des frissons nocturnes, des allergies, des étourdissements, des essoufflements, une toux chronique, des palpitations ou une irrégularité des battements cardiaques peuvent également être observés.

 

La fatigue chronique : un problème récurrent chez les végans et végétariens

Les végans et les végétariens souffrent souvent de fatigue chronique.

Une alimentation “plant-based” impacte l’apport en nutriments et vitamines. Elle peut entraîner un déséquilibre et des carences nutritionnelles, notamment si le régime n’est pas bien planifié. Les carences en protéines, fer, oméga-3 et vitamine B12, souvent dues à une mauvaise absorption, est la principale cause pour laquelle les végétariens et les végétaliens souffrent de fatigue persistante, de maladies chroniques, d’anémie et de troubles dépressifs.

Enfin, les changements de régime alimentaire trop précipités peuvent déclencher ce syndrome.

 

À quoi est due la fatigue chronique d’un régime végétarien ou végétalien ?

 

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Le changement soudain de régime alimentaire

Avant de passer d’un régime carné à un régime végétarien ou végan, il faut commencer par bien se documenter. Un changement trop soudain et rapide entraîne généralement des carences et de la fatigue.

Lors des premiers mois après le changement de régime, il est important de surveiller ses apports d’iode, de fer, de calcium, d’oméga-3, de vitamines D et B12. Si ces nutriments ne nécessitent pas tous une supplémentation, ils méritent une attention particulière.

Des carences en fer et en zinc

Les végétariens et les végans, notamment les femmes, présentent des risques élevés de carences en fer et en zinc.

En effet, les aliments présentant la plus forte teneur en ces deux oligo-éléments sont la viande rouge, les abats et les fruits de mer. Les sources de zinc et de fer dans les régimes sans viande restent donc limitées. Cependant, ces nutriments sont essentiels à la production d’énergie, au bon fonctionnement de l’organisme et du système immunitaire.

Un manque de fer et de zinc provoque des baisses de tonus et de la fatigue.

Le fer héminique (d’origine animale) est de meilleure qualité et plus biodisponible que le fer non-héminique (d’origine végétale). La carence en fer dans un régime végétalien est donc quasi-inévitable, car le fer consommé est bien moins assimilable. Dans ce contexte, l’apport nutritionnel recommandé (ANR) en fer est 1,8 fois supérieur que chez les omnivores.

Concernant le zinc, les végétariens et végans ont des besoins pouvant aller jusqu’à 50 % de plus que les ANR d’un régime carné à cause de problèmes d’absorption.

En effet, un régime à base de céréales complètes, de légumineuses et d’haricots, riche en acide phytiquenuit à la digestibilité et à l’assimilation des nutriments, notamment du fer et du zinc.

Le manque d’oméga-3 dans votre alimentation

Les oméga-3 se trouvent essentiellement dans les poissons gras, d’où de possibles carences chez les végétariens et les végans.

Un ratio supérieur à ¼ entre les oméga-6 (huiles de tournesol, de pépins de raisin, de maïs, de soja)et les oméga-3 peut entraîner un syndrome de fatigue chronique, alors qu’une alimentation riche en oméga-3 aide, au contraire, à combattre la fatigue.

Une carence en vitamine B12

Les besoins en vitamine B12 d’un adulte en bonne santé sont d’environ 2,4 microgrammes par jourPlus de 50 % des végans souffrent de carence.

En effet, cette vitamine se trouve exclusivement dans les produits d’origine animale, tels que les abats, les viandes, les poissons et les fruits de mer.

Or, une carence en vitamine B12 peut causer une fatigue chronique, une baisse de moral, une dépression ou un dysfonctionnement du système nerveux.

Le manque de protéines

Les personnes ne consommant pas suffisamment de protéines peuvent avoir un sommeil plus agité. Elles se sentent fatiguées, moins reposées.

Bien que certains végétaux contiennent des protéines, elles sont souvent de moindre qualité et moins assimilables que les protéines animales.


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Que faire pour éviter d’être fatigué lorsque vous passez d’un régime carné à un régime végétalien/végétarien ?

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Changez de régime progressivement

Pour éviter fatigue et carences, mais aussi ménager votre flore intestinale, il est conseillé de changer progressivement de régime alimentaire et de bien se documenter en amont.

En effet, la flore intestinale a besoin d’une période plus ou moins longue pour s’adapter à un nouveau régime. Or, la bonne santé de votre microbiote est primordiale pour assimiler tous les aliments et éviter les carences nutritionnelles.

Respectez votre physiologie digestive afin de limiter les risques de dysbiose et les inflammations de la muqueuse intestinale.

Avant d’arrêter définitivement les produits d’origine animale, procédez par étapes. Réduisez progressivement votre consommation de viande et de poisson et habituez-vous aux différentes protéines végétales comme le tofu et le tempeh. Testez également les imitations végétales de produits carnés tels que les fausses saucisses, les hachis végétaux pour une transition plus en douceur.

Pour les végans, vous pouvez réduire votre consommation d’œufset de produits laitiers en :

  • commençant par les maintenir seulement dans vos préparations pâtissières et le fromage ;
  • remplaçant peu à peu le lait de provenance animale par des laits végétaux ;
  • réduisant progressivement votre consommation de fromages ;
  • testant les alternatives, comme les gâteaux végans, pour trouver ceux qui vous conviennent le mieux.

Préparez votre transition vers le végétarisme ou le végétalisme, en vous procurant quelques aliments incontournables tels que des :

  • céréales : pâtes complètes, riz complet, boulgour, quinoa, millet…
  • légumineuses : lentilles, pois…
  • oléagineux : noix, amandes, noisettes, pistaches, noix de cajou, graines…
  • simili-carnés (tofu, hachis végétaux, lupin…) et fauxmage
  • fruits et légumes
  • épices pour le goût
  • huiles riches : olive, coco…

Pour les végans, étendez votre liste de courses aux :

  • beurres végétaux ou margarines,
  • laits végétaux,
  • crèmes végétales,
  • yaourts à base de lait de soja…

Gardez une alimentation variée

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Vous pouvez tout à fait maintenir une alimentation équilibrée et éviter les sensations de fatigue si vous êtes végétarien ou végan.

Bien que certains oligo-éléments soient essentiellement présents dans les produits d’origine animale, il existe des alternatives pour contrer vos carences :

  • en fer, tournez-vous vers les légumineuses, mais aussi vers les fruits riches en vitamine C qui favorise son assimilation ;
  • en zinc, privilégiez les produits laitiers (pour les végétariens), les graines de sésame, le cacao, le levain, les haricots et les légumineuses trempés et germés ;
  • en vitamine B12, regardez du côté des produits enrichis comme les levures, les boissons de riz et de soja, les substituts de viande ;
  • en oméga-3, remplacez les poissons gras par de bons acides gras essentiels, contenus notamment dans les huiles végétales de colza, d’olive, de lin, de noisette ou de chanvre… ;
  • en vitamine D, faites une cure de soleil et consommez des margarines enrichies ;
  • en calcium, consommez des légumes verts (choux, brocolis, épinards, cresson), des oléagineux (amandes, pistaches, sésame), du soja, du tofu, des fruits secs, certaines légumineuses et eaux minérales ;
  • en iode, privilégiez les algues comme le wakamé, le nori, le kombu ou le kelp.

Une assiette végan bien composée comporte en moyenne 50 % de légumes, une portion de protéines (par exemple, une tasse de lentille), des graisses riches en oméga-3 et une portion de céréales ou de féculents.

Évitez de consommer trop de glucides pour compenser votre fatigue

Ne compensez pas votre fatigue avec des glucides. 

Les sucres rapides, certes réconfortants, n’apportent rien sur le plan nutritionnel. Quant aux glucides lents, ils possèdent un effet boostant, mais une surconsommation provoque des troubles intestinaux et une mauvaise digestibilité des autres nutriments.

Les pains, les pâtes et les produits sucrés, emballés et transformés, peuvent être consommés occasionnellement, mais pas trop fréquemment. Ils sont responsables de pics glycémiques et de montagnes russes énergétiques.

Pour certaines personnes, un régime trop riche en glucides provoque des somnolences.

Augmentez votre consommation de protéines végétales

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Les aliments d’origine animale ne sont pas les seuls à contenir des protéines. Les céréales, les noix, les graines, les légumineuses, le soja et les algues sont riches en acides aminés essentiels et procurent des protéines de bonne qualité.

Cependant, la plupart des protéines végétales restent qualitativement et quantitativement inférieures aux protéines animales, il ne faut donc pas hésiter à compenser le déficit en augmentant son apport protéique. Vous pouvez également privilégier certains végétaux, comme la spiruline, particulièrement riches en protéines hautement assimilables.

Utilisez des compléments alimentaires

Les végétariens et végétaliens peuvent tout à fait jouir d’une alimentation équilibrée et variée. Pourtant, cela ne suffit pas toujours à couvrir l’ensemble des besoins nutritionnels journaliers recommandés.

Certains nutriments tels que le fer, le zinc, les oméga-3 et la vitamine B12 proviennent essentiellement ou exclusivement du monde animal.

Les végétariens et les végans doivent donc parfois se supplémenter.

Les compléments alimentaires à utiliser pour éviter la fatigue d’un régime végétarien ou végan

Lors de votre transition et tous les ans, procédez à un bilan sanguin afin de définir si vous souffrez de carences ou non.

La spiruline : un complément alimentaire très complet pour faire le plein de nutriments

La composition de la spiruline est exceptionnelle, ce qui en fait un super-aliment.

Elle est, à la fois, riche en macro et micro-nutriments. Source de protéines de bonne qualité et assimilables, d’acides aminés essentiels et non-essentiels, mais aussi de fer, de zinc et de vitamines, la micro-algue présente un intérêt majeur pour les végétariens et les végans.

Pour un apport nutritionnel complet, consommez la spiruline paillettes, en cure, à raison de 5 g (1 cuillère à café) par jour.

La phycocyanine : idéale pour retrouver de l’énergie lorsque vous êtes fatigué

Issue de la spiruline, la phycocyanine présente de nombreux avantages pour les végans et végétariens.

Nos Spiruline Bleue et Bleue + offrent un véritable boost d’énergie et des défenses immunitaires pour éviter les coups de mou et de fatigue.

La vitamine B12 : absolument indispensable pour les régimes végétaliens

Lorsque tout aliment d’origine animale est exclu d’un régime alimentaire, il est primordial de recourir à une supplémentation en vitamine B12. En effet, cette dernière est très peu présente dans les œufs et les produits laitiers et totalement absente des produits végétaux.

La vitamine B12 est indispensable au bon fonctionnement du cerveau. Elle permet d’éviter l’anémie. Elle intervient aussi dans le renouvellement cellulaire et la formation des globules rouges.

La spiruline en contient très peu naturellement, néanmoins, elle aide à son assimilation.

Vous pouvez demander conseil à votre médecin ou pharmacien concernant les différents compléments alimentaires à base de vitamine B12.

Le fer : facilite la transition et évite les carences

Le fer est essentiel pour éviter la fatigue chronique et tous les coups de fatigue en général. Il aide également à assimiler d’autres macro-nutriments, ce qui limite les risques de carences. Enfin, il garantit le transport et le stockage de l’oxygène, très important pour les niveaux d’énergie.

La fatigue, l’anémie, l’intolérance à l’effort, les étourdissements, les maux de tête, les pertes de capacités intellectuelles et physiques, la chute de cheveux, les palpitations sont autant de signes d’une carence en fer.

Bon à savoir : Le fer contenu dans la spiruline serait presque 6,5 fois plus assimilable par l’organisme humain que celui de la viande rouge.

Parce que les aliments et les nutriments, notamment le fer, sont plus digestes et biodisponibles sous l’action de l’acidité, consommer de la vitamine C en parallèle de sa cure de fer ou de spiruline est conseillé.

Optez pour notre produit Vitamine C et phycocyanine.

Oméga 3 pour la mémoire et la concentration : notre guide

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Les oméga 3 sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Les EPA et DHA, deux de ces trois acides gras essentiels, jouent un rôle déterminant pour votre cerveau. Ils stimulent notamment la mémoire et la concentration.

Bien que nécessaires, le corps est incapable de les fabriquer naturellement. Il existe uniquement deux sources d’oméga 3 : l’alimentation et les compléments alimentaires.

Que sont les acides gras Oméga 3 ?

Ces “bonnes graisses” sont des acides gras polyinsaturés.

Leurs bienfaits, désormais bien connus, ont seulement été découverts au 20ème siècle lors d’une étude menée sur l’état de santé des Esquimaux du Groenland.

Les oméga 3 regroupent 3 lipides essentiels :

  • l’acide alpha-linolénique (ALA), acide gras à chaîne courte, précurseur de la famille des oméga 3,
  • et deux acides gras à chaîne longue, l’acide eicosapentaénoïque (EPA) et l’acide docosahexaénoïque (DHA).

En plus de leur composition chimique, leurs provenances diffèrent. En effet, l’ALA est de source végétale alors que l’EPA et le DHA proviennent essentiellement des produits marins.

Quels sont les rôles des Oméga 3 dans l’organisme ?

Les bienfaits des oméga 3 sont nombreux. Plusieurs études ont démontré qu’ils participent au bon fonctionnement de la santé mentale, cérébrale et cardiovasculaire.

Bienfaits Oméga 3, coeur et artères

L’EPA et le DHA, pour un cœur et des artères en bonne santé

La consommation d’oméga 3 aide à réduire les risques cardiaques et d’hypertension artérielle.

La santé du cœur dépend notamment de la fluidité sanguine et du métabolisme cellulaire. Or, les oméga 3 influent sur ces deux facteurs. Ils interviennent, par exemple, dans l’élasticité et la dilatation des vaisseaux, l’agrégation des plaquettes sanguines et les réactions immunitaires. Ils favorisent ainsi une pression sanguine normale.

Ces acides gras essentiels contribuent également à augmenter le “bon cholestérol” et à faire baisser le niveau de triglycérides de 15 à 30 %. De ce fait, ils préviennent la formation de plaques de cholestérol, ce qui en font de parfaits alliés pour votre cœur !

Les oméga 3 limiteraient ainsi les accidents et les maladies cardiovasculaires.

Les sportifs apprécient aussi l’effet cardioprotecteur des oméga 3. En agissant sur le métabolisme des graisses et la pression artérielle, ils contribuent à améliorer les performances sportives. Ils participent au développement musculaire et à l’élimination des mauvaises graisses en les transformant en source d’énergie.

L’EPA, des propriétés anti-inflammatoires

L’EPA dispose de propriétés anti-inflammatoires et protège vos articulations grâce à son rôle dans la synthèse des prostaglandines. Cet acide gras permet de réduire les risques d’inflammations chroniques et les douleurs liées à l’arthrite et à l’arthrose.

Minimisant les troubles inflammatoires, dûs aux sollicitations intensives des articulations et des ligaments, l’EPA facilite la récupération musculaire après les efforts physiques. Les sportifs peuvent en faire une cure pour limiter les courbatures, les sensations de douleurs musculaires et articulaires.

L’EPA, pour une bonne santé osseuse

Grâce à son action inhibante sur l’acide arachidonique, un oméga 6 contribuant à la dégradation des tissus osseux, l’EPA maintient l’intégrité de ces derniers.

Les acides gras essentiels, pour maintenir le fonctionnement hépatique

Le foie est l’organe responsable du traitement des graisses de notre corps. Il intervient notamment dans leur stockage et la régulation du poids.

En évitant l’accumulation des graisses, l’EPA améliore votre fonctionnement hépatique. Il protège aussi votre foie des affections, comme la NAFLD ou maladie du foie non-alcoolique.

Les oméga 3, pour une belle peau

Les oméga 3 participent à améliorer la santé de la peau en la nourrissant et en évitant sa dégradation au fil du temps, grâce au maintien de la taille des télomères.

Ils permettent également de traiter certaines affections dermatologiques comme le psoriasis.

Les oméga 3 pour protéger votre cerveau et votre esprit

Le DHA, l’allié de votre cerveau et de votre vision

Le cerveau se compose à 60 % d’acides gras, dont 70 % d’oméga 3. Ces derniers favorisent l’amélioration des fonctions cognitives et cérébrales.

Le DHA est l’acide gras majoritairement présent dans le cerveau. Il y est 50 fois plus présent que l’EPA et jusqu’à 200 fois plus que l’ALA.

Le DHA est donc un constituant essentiel de votre matière grise. Cet oméga 3 favorise la libération de l’influx nerveux et des neurotransmetteurs.

Un bon apport de DHA est également essentiel à votre santé oculaire. D’ailleurs, l’acide gras constitue 30 % de la rétine. En stimulant le renouvellement des photorécepteurs rétiniens, cet oméga 3 réduit le risque de déclin des capacités et de pathologies oculaires (cataractes, DMLA…), dûs principalement au vieillissement. De plus, il favorise votre confort en évitant le syndrome des yeux secs.

La consommation de DHA, lors de la grossesse ou chez les enfants en bas âge, est intéressante pour développer la vision, les fonctions cérébrales, cognitives et sociales.

Les oméga 3, garants du développement et du maintien des capacités cognitives

Les acides gras essentiels préviennent les maladies neurodégénératives et aident à en réduire les symptômes.

Nos capacités cognitives diminuent avec l’âge. Les cures d’oméga 3 permettent de retarder le déclin et les risques de maladies comme Alzheimer. Consommés dès les premiers stades du déclin cognitif, elles contribuent à minimiser les symptômes.

Chez les jeunes enfants, la combinaison du DHA et de l’EPA a un effet bénéfique sur :

  • le trouble du déficit de l’attention/hyperactivité (TDA/H),
  • l’autisme,
  • la dyspraxie,
  • la dyslexie
  • et l’agressivité.

L’EPA, pour protéger votre santé mentale

Les oméga 3, surtout l’EPA, contribuent à réduire les risques de dépression et les symptômes du trouble dépressif majeur (TDM).

L’EPA montre également des résultats prometteurs en accompagnement des traitements du trouble bipolaire et de la schizophrénie.

Comment les Oméga 3 améliorent votre mémoire et votre concentration ?

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Les oméga 3 EPA et DHA participent au bon fonctionnement, au maintien et au développement normal du cerveau à tous les stades de la vie : fœtus (par la maman, durant la grossesse), bébé, enfance, adolescence, âges adulte et vieillissant.

Selon certaines études, les enfants de femmes consommant suffisamment d’oméga 3 durant leur grossesse obtiennent de meilleurs résultats aux tests d’intelligence.

L’EPA et le DHA contribuent notamment à optimiser l’apprentissage, la réflexion, la concentration et la mémorisation.

Au contraire, de faibles niveaux sanguins d’oméga 3 peuvent être responsables du vieillissement du cerveau, de déficits des fonctions cérébrales et de pertes de mémoire.

Les oméga 3 DHA renforcent la plasticité synaptique et les connexions neuronales, ce qui améliore la concentration et les performances intellectuelles

Le cerveau se compose essentiellement d’eau, de graisses et de 100 milliards de cellules nerveuses.

Le DHA, sous forme de phospholipides, représente 30% de la matière sèche des neurones et jusqu’à 50 % des oméga 3 de votre cerveau. C’est pourquoi il est indispensable pour booster vos performances intellectuelles.

Cet oméga 3 favorise la neurogénèse et les connexions neuronales, la synthèse de neurotransmetteurs et l’influx nerveux. Ceci permet la stimulation des fonctions cognitives : éveil, mémorisation, apprentissage et concentration.

Selon une étude publiée dans la revue Neuropsychopharmacology, les acides gras essentiels participent à améliorer la concentration, notamment chez les enfants. Une cure de DHA est d’ailleurs conseillée au moment de la grossesse et de la période pré-scolaire pour lutter contre les troubles de l’attention, améliorer l’éveil cérébral, les capacités d’apprentissage et les performances scolaires.

Une cure de DHA est également conseillée pour vous accompagner dans vos études ou dans votre travail afin de stimuler votre performance cérébrale. Un apport quotidien améliore la réflexion et l’apprentissage, mais également la réactivité et la mémoire.

Les oméga 3 EPA augmentent la sécrétion de la sérotonine et de la dopamine, ce qui favorise la bonne humeur et la mémoire

En agissant sur l’inflammation et en inhibant l’action de l’acide arachidonique, l’EPA facilite la libération de la sérotonine et de la dopamine par les neurones pré-synaptiques. Ces hormones favorisent les émotions positives et la mémorisation.

L’EPA agit également sur les récepteurs de la sérotonine dans les neurones post-synaptiques. Les effets de la sérotonine se régulent grâce à une action combinée avec le DHA. En effet, ce dernier contribue à modifier les membranes cellulaires. Il facilite ainsi la propagation et l’accessibilité aux récepteurs des messagers chimiques tels que la dopamine ou la sérotonine.

Le bien-être et la bonne humeur sont primordiaux pour développer vos performances intellectuelles et physiques, d’où l’intérêt d’une cure d’EPA.

Quelles sont les meilleures sources d’oméga 3 pour booster mémoire et concentration ?

La consommation d’aliments riches en Oméga 3 : essentielle pour améliorer votre mémoire

Aliments riches en oméga 3

Naturellement, le corps ne produit pas d’oméga 3. Par contre, certains aliments en sont riches.

L’ALA est présent dans les huiles végétales (lin, germes de blé, soja, colza, noix), les graines (chia…), les noix (noix, pistaches, amandes, noisettes…) et certains légumes verts. Attention, la plupart des huiles végétales ne supportent pas les hautes températures et le meilleur moyen de profiter de leurs acides gras essentiels est de les consommer en assaisonnement.

Le DHA et l’EPA proviennent plutôt du monde marin : poissons gras (saumon, hareng, anchois, sardine, maquereau, thon…), algues, krill, crustacés, œufs de poisson ou huile de foie de morue.

La viande, les produits laitiers et les œufs sont sources d’oméga 3, mais en faibles quantités.

Il existe aussi des produits alimentaires enrichis en Oméga 3. Surveillez les étiquettes !

L’ALA, une fois consommée, subit une série de transformations chimiques pour allonger la chaîne d’atomes, ce qui donne également naissance au DHA et à l’EPA. Si un apport satisfaisant en ALA semble, sur le papier, couvrir les besoins en DHA et en EPA, c’est, en réalité, loin d’être le cas. En effet, les taux de conversion restent généralement assez faibles, 5 % à 10 %, ce qui est bien insuffisant pour prendre soin de votre santé et de vos performances intellectuelles.

L’alimentation ne parvient pas toujours à combler ce manque, car le régime alimentaire occidental est assez pauvre en oméga 3 et trop riche en oméga 6. Si le ratio O6/O3 devrait être inférieur à 5, il est souvent plus proche de 20. L’excès d’oméga 6 nuit aux effets bénéfiques des oméga 3.

Dans ce cas, il peut être intéressant de recourir à une supplémentation.

Les compléments alimentaires à base d’oméga 3 : une source de DHA et EPA inégalable

Une étude, publiée par l’ANSES en 2015, dévoile que 85% des adultes ont un apport en dessous de celui recommandé en DHA et 89 % pour la combinaison DHA et EPA. Chez les enfants, on observe la même situation.

Pour bénéficier d’un apport suffisant en DHA et en EPA afin de booster votre mémoire et votre concentration, il est nécessaire de vous supplémenter.

S’il existe de nombreux types de compléments alimentaires “riches en oméga 3” sur le marché, tous ne se valent pas.

Quel dosage et quelle durée pour une cure d’oméga 3 dans le but de booster votre mémoire et votre concentration ?

En 2011, l’ANSES a publié un rapport recommandant un apport journalier :

  • d’environ 2 000 mg d’acide alpha-linolénique (ALA),
  • de 250 mg d’acide docosahexaénoïque (DHA),
  • de 250 mg d’acide eicosapentaénoïque (EPA).

La prise totale d’oméga 3 quotidienne ne doit pas dépasser 5 000 mg.

Pour renforcer vos fonctions cognitives et protéger votre santé mentale, il est préférable de consommer au moins 900 mg d’EPA et de DHA combinés par jour.

Si vous souhaitez booster votre mémoire et votre concentration, optez pour une cure d’un mois minimum. Votre cure d’EPA et de DHA peut se poursuivre tout au long de l’année, scolaire ou non !

À quoi combiner les oméga 3 consommés pour améliorer votre mémoire et votre concentration mentale ?

Réduire les sources de distraction, l’ennemi numéro 1 de la mémoire et de la concentration

Le stress, les idées négatives et les distractions nuisent à la concentration et à la mémoire.

Le calme et le bien-être sont deux éléments essentiels pour améliorer ses capacités d’apprentissage et de mémorisation.

Manger sainement : le meilleur moyen de réduire la digestion lourde

Une cure d’oméga 3 doit également s’accompagner d’une alimentation équilibrée et variée.

Manger sainement permet d’améliorer sa digestion. Cette dernière influe sur la concentration et les performances intellectuelles.

Pratiquer une activité physique régulière : un axe trop souvent sous-estimé pour améliorer votre concentration

La pratique régulière d’une activité physique est le meilleur allié de votre cure d’oméga 3 pour booster vos performances cérébrales.

Tout d’abord, le sport permet de stimuler le métabolisme et d’améliorer l’assimilation des nutriments.

De plus, les activités sportives favorisent l’évacuation du stress, des tensions et des idées négatives, ce qui est le meilleur moyen d’améliorer sa concentration.

Des activités, telles que le yoga et la méditation, contribuent à se vider l’esprit et à améliorer sa santé cérébrale.

En clarifiant vos idées, vous stimulez également votre mémoire !

Se reposer suffisamment : la fatigue est l’une des principales causes de manque de concentration et de trous de mémoire

La fatigue influe sur la mémoire et la concentration. 

Respecter les cycles de sommeil permet de renforcer ses capacités mémorielles et de concentration. Dormir suffisamment et avoir un sommeil réparateur aide à bien récupérer et à repartir du bon pied chaque matin.

Enfin, il faut parfois savoir mettre son cerveau complètement au repos grâce à une “digital détox” et à une pause sans écran.

Associer les bienfaits des oméga 3 à la vitamine B5 contribue à réduire la fatigue et à booster ses performances intellectuelles.

Faire travailler son cerveau : combinez les oméga 3 à une stimulation mentale

Pack Rentrée Performe, Oméga 3 et Phycocyanine, Activités cérébrales

Les performances cérébrales et la mémoire, ça se travaille !

En effet, il est important de stimuler ses facultés intellectuelles grâce à différentes activités : lecture, puzzles, énigmes, mots croisés, sudokus…

Apprendre de nouvelles choses est également un excellent stimulant pour la mémoire.

Nos Oméga 3 combinés à notre phycocyanine : un coup de boost pour votre corps, votre mémoire et votre concentration mentale !

Notre pack rentrée allie les bienfaits des oméga 3 à notre phycocyanine liquide. Ce duo gagnant promet une rentrée et une année pleines d’énergie !

Ces deux compléments essentiels se combinent pour booster votre bien-être, votre tonus et vos performances cérébrales. Ainsi, vous êtes plus concentré et développez vos capacités d’apprentissage et de mémorisation.

La synergie des oméga 3 et de la spiruline bleue vous permet de bénéficier des vertus de la phycocyanine. De surcroît, l’or bleu favorise l’assimilation du DHA et de l’EPA pour une plus grande efficacité.

Composé à 60 % de matières grasses, dont d’acides gras insaturés, votre cerveau a besoin d’oméga 3 pour être productif.

Néanmoins, l’alimentation n’est pas suffisante pour couvrir tous les besoins. Côté complément alimentaire, pas toujours évident de s’y retrouver.

Nous avons donc développé notre pack avec de la Spiruline Bleue et des capsules d’Oméga 3, à base d’huile de poisson pure EPAX®. Issus de zones de pêche bénéficiant du label “Friend of the Sea”, les poissons, majoritairement sauvages et de petite taille (sardines, anchois), sont pêchés dans le plus grand respect de l’environnement et de la vie marine.

 

Pack Rentrée Performe, Oméga 3 et Phycocyanine

 

Le conditionnement de l’huile de poisson en capsule facilite la prise. Chaque capsule contient 200 mg d’EPA et 150 mg de DHA.

Nos cures se déclinent en deux vitesses :

  • Pour un accompagnement en douceur, lors de l’année scolaire, consommez 3 capsules d’oméga 3 (600 mg d’EPA et 450 mg de DHA) avec 2 cuillères à café de phyco (20 mg) par jour.
  • Pour une cure plus intensive, en période d’examen, consommez 4 capsules d’oméga 3 (800 mg d’EPA et 600 mg de DHA) avec une cuillère à soupe de phycocyanine (30 mg) chaque jour.

Avec ce pack Oméga 3 et Phycocyanine, il est plus facile de partir du bon pied et d’affronter une nouvelle année scolaire ! Parce que la force, la concentration et la mémoire sont avec vous…