Boissons énergisantes 100% naturelles : le guide anti-fatigue complet

Boissons énergisantes naturelles

Les boissons énergisantes sont à la mode. On en retrouve de différentes marques sur le marché.

Les français en sont fans et en consomment pas loin de 51 L par an par habitant. Que ce soit pour affronter une longue journée de travail ou une séance intense de sport, on les consomme pour booster son énergie, ses performances sportives et mentales.

Néanmoins, les boissons énergisantes commerciales, souvent non réglementées, sont peu recommandées pour la santé. En effet, la plupart d’entre elles sont bourrées de sucre raffiné.

Vous vous demandez donc si vous pouvez bénéficier du même boost qu’avec ces boissons avec des boissons naturelles ? Et bien oui ! Retrouvez nos conseils dans cet article pour vous concocter vos propres boissons anti-fatigue maison.

 

Qu’est-ce qu’une boisson énergisante ?

Comme son nom l’indique, une boisson énergisante sert à donner un coup de fouet physiologique, un regain d’énergie.

Elle stimule à la fois performances mentales et sportives, souvent à partir de substances psychoactives comme la caféine ou la taurine. C’est notamment le cas de la plupart des boissons énergisantes industrielles.

Les boissons énergisantes naturelles non transformées, quant à elles, regorgent de nutriments, de vitamines et de minéraux.

 

Quels sont les éléments d’une boisson qui la rendent plus ou moins énergisante ?

Le Dr Marie Antoinette Séjean, nutritionniste, définit ainsi les boissons énergisantes : “les boissons “anti-fatigue” sont des boissons censées être stimulantes grâce à leur contenu et ingrédients”.

Il en existe donc deux sortes : les boissons non-naturelles et les boissons naturelles.

Les premières se composent d’eau, de beaucoup de sucres (glucose, fructose), de caféine, de vitamines B, d’oligo-éléments, de produits dérivés d’acides aminés comme la taurine, ou d’extraits de plantes, telles que le ginseng et le guarana.

Les boissons naturelles sont non transformées et leurs compositions varient.

Le sucre (glucose, fructose…) : un élément qui apporte de l’énergie rapidement

 

Sucre et glucose, stimulants mais pas idéaux pour la santé

 

Les sucres, tels que le glucose et le fructose, sont des substrats énergétiques qui peuvent être immédiatement utilisés par l’organisme. C’est pourquoi on les appelle “sucres rapides”.

Dans les boissons énergisantes industrielles, on peut retrouver jusqu’à 9 sucres dans une canette de 250 ml. Elles sont source de D-gluractone et en apportent jusqu’à 500 fois plus que les doses journalières fournies par l’alimentation. Ce composant est naturellement produit par notre foie durant le métabolisme du glucose.

Si les glucides sont essentiels pour apporter de l’énergie à votre corps et votre esprit, leurs proportions doivent respecter un certain équilibre. Trop présents, ils stagnent dans l’estomac, ce qui peut provoquer des problèmes intestinaux. Insuffisants, vous risquez de manquer d’énergie et d’avoir à puiser dans vos réserves, ce qui est cause de fatigue.

Les stimulants : les molécules qui réduisent votre fatigue

Parmi les stimulants contenus dans les boissons énergisantes, on retrouve souvent de la caféine. La caféine se trouve naturellement dans le café, le thé, le maté, les feuilles de cola, le guarana ou le chocolat noir…

D’autres plantes sont stimulantes comme le ginseng, le ginkgo biloba et l’échinacée.

Ces stimulants, souvent psychoactifs, agissent sur la concentration et l’attention. Ils réduisent la sensation de fatigue.

Les minéraux : les éléments essentiels pour que votre corps fonctionne comme une horloge

Les minéraux favorisent le bon fonctionnement corporel. Par exemple, le sodium contribue à bien répartir l’eau dans l’organisme.

Pour réaliser un effort physique, il est essentiel d’apporter des minéraux à son organisme, car beaucoup sont évacués dans la sueur.

Les acides aminés : des molécules qui peuvent être source d’énergie

La plupart des boissons énergisantes du commerce contiennent des acides aminés ou bien des dérivés d’acides aminés.

Parmi eux, on trouve principalement de la taurine. Certaines boissons apportent deux fois plus de taurine que les doses journalières absorbées dans l’alimentation. La taurine est un dérivé d’acide aminé. On le retrouve surtout dans la bile de taureau, ce qui explique son nom. La taurine agit sur l’excitabilité des neurones et renforce la contractilité cardiaque.

Les vitamines B

Les vitamines, notamment les vitamines B, réduisent les coups de fatigue. Elles boostent les performances physiques et mentales.

La vitamine B2 ou riboflavine contribue à libérer l’énergie. Elle favorise le métabolisme des macronutriments comme les glucides, les lipides et les protéines. En activant leur dégradation, elle facilite la production d’énergie.

La vitamine B3 ou niacine aide au bon fonctionnement du système nerveux. Elle stimule les capacités cognitives, dont la concentration et la mémoire.

La vitamine B5 ou acide pantothénique constitue un précieux allié anti-fatigue. Elle contribue à produire l’énergie et à transporter l’oxygène dans toutes nos cellules.

La vitamine B6 ou pyridoxine favorise le métabolisme des acides aminés, des protéines en général, et donc au métabolisme énergétique.

 

Quand consommer des boissons énergisantes ?

Certaines boissons énergisantes peuvent être consommées à n’importe quel moment de la journée, voire en cure

Il existe des boissons énergisantes naturelles, riches en nutriments, qui peuvent faire l’objet de cures et d’une consommation quotidienne.

C’est, par exemple, le cas des boissons à base de phycocyanine ou de spiruline. Ces boissons sont pauvres en sucre.

Certains jus maison peuvent aussi se consommer régulièrement s’ils contiennent davantage de légumes que de fruits afin d’éviter les apports en glucides trop importants.

Certaines boissons naturellement caféinées comme le café, le matcha et le maté peuvent être bu tous les jours dans des proportions raisonnables.

Les boissons énergisantes sucrées sont à privilégier avant le sport

Les boissons énergisantes, riches en sucres, sont, quant à elles, à privilégier avant l’effort physique.

D’après l’American Heart Association, la combinaison de glucides et de protéines est particulièrement intéressante pour refaire le plein d’énergie, notamment avant une séance d’entraînement. Le sucre contribue à fournir de l’énergie aux muscles, alors que les protéines les construisent.

Ce type de boisson énergétique se consomme dès 45 minutes avant la séance de sport ou 10 minutes avant si l’on est à jeun.

L’après sport est un bon moment pour certaines boissons énergisantes

Certaines boissons énergisantes sont conseillées lors de la pratique sportive ou après les séances de sport, comme les boissons isotoniques qui favorisent l’hydratation et la récupération.

Le shaker de protéines montre de meilleurs résultats lorsqu’il est pris après la séance de sport pour participer à la construction des muscles.

Selon la concentration en phycocyanine de certains produits, ils seront à consommer quotidiennement, avant ou après le sport. En effet, les bénéfices de la phycocyanine varient en fonction de sa concentration.

 

Les meilleures boissons énergisantes suivant votre usage

La phycocyanine : un coup de boost naturel pour retrouver l’énergie

 

Phycocyanine, idéale pour les sportifs, source de tonus, de performances et de récupération

 

Avantages de phycocyanine : 

  • Sans sucre,
  • Sans accoutumance,
  • Sans goût prononcé,
  • Action sur le long terme,
  • Facile d’utilisation, à simplement mélanger avec de l’eau ou du jus de fruit,

Inconvénients de la phycocyanine :

  • Nécessite un contrôle médical avant sa consommation par les personnes souffrant de certaines maladies chroniques, les femmes enceintes et les enfants de moins de 6 ans. Retrouvez notre article sur les dangers de la phycocyanine.
  • Ne peut être consommée avec ou peu de temps avant ou après la consommation de café, de thé ou de boissons tanniques.
  • Se consomme froide uniquement, non thermo-résistante.

Usage recommandé : 

  • Cure journalière,
  • Anti-fatigue,
  • Tonus,
  • Boost immunitaire, prévention de certaines maladies et d’allergies,
  • Antioxydante,
  • Enrichissement du microbiote intestinal,
  • Anti-inflammatoire,
  • EPO naturel,
  • Performances physiques et cognitives,
  • Récupération sportive,

La phycocyanine est le concentré actif de la spiruline.

On ne compte plus les bénéfices de cette molécule.

Le pigment antioxydant est un précieux allié contre la fatigue et les coups de mou. Il booste votre système immunitaire, vos performances mentales et physiques, ainsi que la récupération après les efforts sportifs.

Selon l’effet recherché, vous n’utiliserez pas le même niveau de concentration de phycocyanine. Pour une cure de fond, un soutien immunitaire et plus de tonus, optez pour notre Spiruline Bleue.

Si vous pratiquez une activité sportive et voulez booster vos performances, votre endurance et votre récupération, nous vous conseillons notre Spiruline Bleue+, plus concentrée.

Pour les sportifs intenses, à la recherche de dépassement de soi et de leurs limites, notre Ultra Spiruline Bleue+, encore plus concentrée, est faite pour vous.

Toutes nos phycocyanines sont vendues sous forme liquide pour une meilleure assimilation. Elles peuvent aisément être préparées en boisson. N’hésitez pas à l’allier à la vitamine C pour des effets boostants décuplés en la mélangeant à du jus d’orange frais ou en utilisant notre pack Vitamine C et Spiruline Bleue.

Contrairement aux boissons énergisantes industrielles, la phycocyanine n’est riche ni en sucre, ni en sodium. La phycocyanine agit comme un anti-fatigue naturel, sans pour autant être psychoactive.

Les smoothies et les jus maison : des boissons naturellement sucrées pleines de vitamines et d’énergie

Avantages :

  • Riches en nutriments ,
  • Multitude de combinaisons possibles,
  • Possibilité de choisir ses ingrédients selon les apports nutritionnels souhaités.

Inconvénients : 

  • Selon les ingrédients utilisés, peuvent être trop sucrées (fructose).

Usage recommandé : 

  • Pour le plaisir, à n’importe quel moment de la journée de façon occasionnelle,
  • Le matin ou avant le sport,
  • Apport en vitamines et antioxydants,
  • Boost immunitaire,
  • Anti-fatigue, coup de boost.

Les smoothies et les jus de fruits maisons sont riches en vitamines, en minéraux et en antioxydants. Ces différents nutriments sont essentiels pour produire de l’énergie. Les smoothies et jus de fruits peuvent donc devenir de précieux alliés anti-fatigue.

 

Smoothies et jus de fruits, boissons énergisantes

 

L’un des avantages de ces boissons est que vous pouvez varier les combinaisons à l’infini, en mariant fruits et légumes. Composez ainsi votre jus ou smoothie selon les apports recherchés.

La combinaison entre fruits et légumes est souvent la plus intéressante sur le plan nutritionnel. De plus, cela permet de limiter un apport en sucre. À ce sujet, n’ajoutez jamais de sucre supplémentaire à votre jus ou smoothie maison.

Certains fruits et légumes sont connus pour leur richesse en vitamines et en antioxydants tels que les agrumes, les épinards, les betteraves, les carottes, les pommes, le céleri, les tomates, le gingembre, le persil… Privilégiez ces ingrédients lorsque vous vous concoctez un jus ou un smoothie maison. Ils sont source d’énergie mentale et physique.

Voici nos combinaisons de jus ou de smoothie préférées :

  • Pomme, carotte et betterave pour un coup de boost,
  • Pomme, citron, betterave, céleris et épinards pour oxygéner le sang et réveiller l’esprit,
  • Ananas, pomme, menthe, citron, piments verts pour activer le métabolisme,
  • Carottes, pomme, jus d’orange, jus de citron, gingembre, menthe, un excellent anti-fatigue,
  • Framboises, pomme, banane et açai pour davantage d’énergie,
  • Épinards, kiwi, banane, gingembre et lait d’amandes pour un kick avant une séance de sport ou en début de journée,
  • Smoothie banane, jus d’orange et eau de coco pour produire de l’énergie et lutter contre la fatigue.

Les boissons isotoniques : des boissons énergisantes très prisées des sportifs

Avantages : 

  • Plus hydratantes que l’eau pure,
  • S’achètent en poudre ou se préparent maison,
  • Possible de varier les dosages pour répondre aux différents besoins des sportifs.

Inconvénients :

  • Prix élevé des préparations en poudre,
  • Production artisanale nécessite l’achat de maltodextrine,
  • Préparation maison méticuleuse, dosage précis à respecter
  • Ne convient pas à un usage quotidien.

Usage recommandé : 

  • Pour les sportifs essentiellement,
  • Avant, durant ou après l’effort physique selon les dosages,
  • Apport de glucides et de sels minéraux,
  • Réhydratation,
  • Régulation thermique,
  • Diminution de la fatigue,
  • Ralentissement de l’épuisement musculaire,
  • Occasionnellement pour contrer la déshydratation induite par certains maux : diarrhées, dengue…

Pour ne pas se sentir fatigué, l’hydratation joue un rôle crucial. Se réhydrater est primordial notamment lors de la pratique sportive d’endurance. 1% d’eau perdue serait responsable d’une baisse des performances à raison de 10%.

Les boissons isotoniques permettent d’éviter les pertes de sels minéraux importants, cause de déshydratation lors d’un effort physique.

De plus, elles apportent des glucides, source d’énergie. Ces boissons maintiennent aussi le corps à une température normale, elles régulent la themie.

L’isotonie correspond à l’équilibre moléculaire entre deux solutions aux concentrations osmotiques similaires. Une boisson pour être isotonique possède la même concentration moléculaire que le sérum humain, ce qui lui permet une absorption optimale dans le sang.

Une mauvaise hydratation diminue considérablement les performances sportives. Les sportifs d’endurance doivent s’hydrater régulièrement avant, pendant et après l’effort. L’eau pure est souvent insuffisante, car elle ne fournit pas suffisamment de sels minéraux et de glucides, perdus lors de l’effort, dans la sueur.

Les boissons isotoniques peuvent s’acheter en magasin spécialisés, mais elles sont coûteuses. Alternativement, vous pouvez préparer votre propre boisson réhydratante à la maison.

Pour cela, il vous faudra acheter, au préalable, de la maltodextrine en pharmacie ou sur des sites web de confiance. La maltodextrine apporte de l’énergie de façon régulière. Ce mélange de glucose et de maltose, obtenus par hydrolyse partielle de maïs ou d’amidon de blé, empêche de puiser trop tôt dans les réserves de glycogène.

Préparer une boisson isotonique maison consiste à mélanger de l’eau, du jus de fruit pur, du sel et de la maltodextrine. La composition exacte varie selon la durée de l’effort et le moment de la consommation. En effet, pour optimiser l’apport énergétique, votre boisson doit se composer de sucres à index glycémique élevé, de maltodextrine lors d’un effort long et de sels minéraux pour éviter les carences provoquées par la sudation.

 

Lors d’un effort court de moins de 2h, voici les proportions à respecter pour un litre de boisson isotonique :

  • 50 cl d’eau,
  • 50 cl de jus de fruits pur (préférablement pomme ou orange),
  • Le quart d’une cuillère à café de sel.

Pour un effort de plus de deux heures, les proportions restent les mêmes, mais il faut y ajouter 40 g de maltodextrine.

Lors de l’effort, buvez de petites quantités toutes les 5 à 10 minutes, à raison de maximum ½ litre par heure.

Avant l’effort, il vaut mieux diminuer l’apport en sucre et en sel. Mélangez simplement 70 cl d’eau à 30 cl de jus de fruit pur.

Après l’effort, vous pouvez mélanger 50 cl de pur jus de fruit à de l’eau minérale plate ou gazeuse. Les eaux minérales contiennent plus ou moins de minéraux. Privilégiez les eaux riches en bicarbonate comme la Badoit, la Saint-Yorre ou la Vichy Célestin.

Les boissons à base de spiruline : pas aussi radicales que la phycocyanine, mais plus nutritives

 

Spiruline, le plein de nutriments et d'énergie

 

Avantages : 

  • Riches en nutriments,
  • Faciles d’utilisation : paillettes à diluer dans un liquide,

Inconvénients : 

  • Moins bonne assimilation que son concentré actif, la phycocyanine,
  • Goût particulier,
  • Consommation froide uniquement, algue non thermo-résistante.

Usage recommandé :

  • Cure quotidienne à raison d’un ou deux mois,
  • Anti-fatigue,
  • Antioxydante,
  • Boost immunitaire,
  • Oxygénation du sang et des muscles,
  • Superaliment : composition nutritionnelle exceptionnelle.

La spiruline est une micro-algue d’eau douce à l’apport nutritionnel exceptionnel.

Ce superaliment permet de faire le plein de protéines, d’acides aminés, de minéraux, dont de fer, de pigments antioxydants et de vitamines assimilables par l’organisme.

On trouve la spiruline sous différentes formes : poudre, gélules ou paillettes, à savoir que les paillettes constituent la forme la moins transformée. Ces bénéfices sont donc moins altérés. Retrouvez ici notre Spiruline Paillettes.

Pratique, la spiruline paillette se dilue à raison d’une cuillère à café, dans tous les liquides : eau, jus de fruit, smoothie… Évitez néanmoins de la mélanger au café ou au thé et d’en rapprocher la prise, car ces boissons, riches en tanins, en diminuent les vertus.

Voici une bonne recette de boisson énergisante maison :

  • 1/2 banane;
  • 1 kiwi,
  • 250 mL de lait d’amandes,
  • 1 cc de beurre de cacahuètes,
  • 1 cc de graines de Chia,
  • 1/2 cc de cannelle,
  • 1 cc de spiruline paillettes (à diluer à la fin).

 

Le matcha : une boisson énergisante avec peu d’inconvénients

 

Thé matcha, boisson énergisante qui stimule, mais n'énerve pas

 

Avantages : 

  • Simple de préparation,
  • Sans sucre,
  • Riche en acides aminés et en vitamine C,
  • Pas de nervosité entraînée comme avec le café,
  • Effet énergisant plus durable et diffus qu’avec le café,
  • Pas de coup de fatigue a posteriori.

Inconvénients : 

  • Nécessite une infusion avec un liquide chaud.

Usage recommandé : 

  • Consommation quotidienne possible,
  • Stimulant et énergisant,
  • Action anti-fatigue,
  • Réveil matinal,
  • Renforcement immunitaire,
  • Amélioration de la concentration,

,

Très connu au Japon, le thé matcha possède un effet stimulant naturel. Il permet de vous réveiller en forme, d’améliorer votre concentration tout au long de la journée et de renforcer votre système immunitaire.

Le matcha est le résultat de feuilles de thé vert séchées et broyées en poudre fine.

Il suffit de mélanger 2 cuillères à café à environ 70 à 100 ml d’eau chaude ou de lait avec un fouet jusqu’à obtenir une texture crémeuse.

Riche en acides aminés (L-Théanine) et en théine, son boost d’énergie agit pendant 4 à 6h, contrairement au café dont le kick est plus intense et rapide, mais s’estompe également rapidement. La L-Théanine entraîne la libération progressive de la caféine pour des effets durables. Cet acide aminé possède un autre avantage, il est calmant. Vous pouvez penser que c’est plutôt paradoxal pour une boisson énergisante, mais non, le matcha permet de booster sans énerver.

Le maté : une boisson traditionnelle qui aide à lutter contre la fatigue

Avantages : 

  • Riche en nutriments,
  • Effet énergisant plus durable et diffus qu’avec le café,
  • Pas de coup de fatigue a posteriori.

Inconvénients : 

  • Nécessite une infusion dans l’eau chaude,
  • Goût amer.

Usage recommandé : 

  • Le matin ou en début de journée,
  • Usage quotidien possible,
  • Idéal pour faire du sport,
  • Effet stimulant,
  • Anti-fatigue,
  • Antioxydant,
  • Réduction de la fatigue musculaire et des crampes,
  • Stimulation du système nerveux central,
  • Effet sur la cognition : mémoire, concentration et vigilance,
  • Superaliment : apport nutritionnel
  • Sensation de satiété,
  • Effet amincissant : action sur le métabolisme des graisses et des sucres,
  • Action positive sur la digestion,
  • Anti-dépresseur naturel.

 

Consommé depuis des siècles en Amérique du Sud, notamment en Argentine, au Brésil, en Uruguay et au Paraguay, le maté consiste en l’infusion des feuilles de yerba mate. Il se consomme aussi bien chaud que froid.

Le maté est riche en antioxydants, en oligo-éléments, en acides aminés et en vitamines. Tous ces nutriments ont des vertus stimulantes. Ainsi, le maté constitue un anti-fatigue naturel intéressant, tant sur le plan mental que physique. Il est efficace contre les crampes et la fatigue musculaire.

Cette infusion stimule la mémoire et la concentration.

Ce superaliment est extrêmement énergisant. Son action stimulante est intense et quasiment immédiate grâce à la caféine et à la théobromine qu’il contient.

Bien que la teneur en caféine du maté dépend en partie de sa préparation, il contient moins de caféine que le café et plus que le thé.

La théobromine (on la retrouve aussi dans le cacao) est moins tonifiante que la caféine, mais leur combinaison fournit de l’énergie de manière plus diffuse et durable.

Voici les meilleurs manières de le consommer :

  • En infusion chaude ou froide, ce qu’on appelle le maté cocido (méthode des gringos !),
  • En infusion dans une calebasse à maté avec paille filtrante (méthode traditionnelle),
  • En cocktail (moins énergisant).

 

Le shaker de protéines : une boisson qui peut redonner de l’énergie après l’effort

Avantages : 

  • Solubles,
  • Plus assimilables que les protéines contenues dans l’alimentation,
  • Praticité du format,
  • Désormais plusieurs options : protéines animales ou végétales.

Inconvénients : 

  • Réservées uniquement aux sportifs ou aux personnes en carences de protéines.

Usage recommandé : 

  • Énergie durable,
  • Satiété,
  • Utilisation par les sportifs qui souhaitent développer leur masse musculaire sans prendre de poids,
  • Reconstitution des tissus, hormones et enzymes,
  • Avant et après l’effort,
  • Végétariens et végans.

 

Shaker de protéines, boisson énergisante, idéale pour les muscles

 

Les poudres de protéines s’achètent dans les magasins spécialisés : sport et nutrition.

Facile à utiliser, il suffit de les diluer dans votre gourde ou shaker avec de l’eau, du jus ou d’autres liquides.

Les protéines les plus courantes dans le commerce sont d’origine animale, notamment issues du lait, telles que la caséine et la whey. Néanmoins, les protéines végétales comme celles contenues dans le chanvre ou la spiruline sont intéressantes.

Le shaker de protéines peut être consommé quotidiennement par les personnes en carences, dues à leur régime alimentaire. Mais ce sont les sportifs qui ont fait l’usage principal.

Pour la pratique de sport d’endurance ou de force, le shaker de protéines se consomme avant ou après l’effort. En effet, sa prise durant l’effort n’apporte rien de particulier pour les muscles. Au contraire, consommer des protéines avant l’effort physique permet de maintenir la masse musculaire. Après l’effort, elles se consomment entre 30 minutes et 2h après l’entraînement afin d’augmenter la masse musculaire.

Pour multiplier les apports énergétiques, vous pouvez faire un smoothie à partir de vos protéines. On vous propose, par exemple, cette recette :

  • ½ banane,
  • 1 cc de beurre d’amande,
  • ½ tasse de chou kale,
  • ¾ de tasse de lait d’amandes,
  • ¼ tasse d’eau ou d’eau de coco,
  • ½ cc de graines de lin (de préférence mixées),
  • 1 cuillère à café de poudre de protéines.

Selon le type de protéines, les apports nutritionnels varient. Dans tous les cas, les protéines fournissent une énergie durable permettant d’éviter de puiser dans nos réserves.

La whey et les protéines de chanvre sont digestes et facilement assimilables par l’organisme. Elles possèdent l’aminogramme complet, soit les 9 acides aminés, mais aussi des BCAA. Leur forte assimilation doit limiter les moments de prise de protéines au moment où votre corps a besoin d’une quantité plus importante d’acides aminés, carburants pour les muscles. Les BCAA correspondent aux 3 acides aminés essentiels : la leucine, l’isoleucine et la valine.

Le café : un indémodable, mais qui n’est pas sans inconvénients

Avantages : 

  • Source d’énergie,
  • Réconfort et rituel du matin,
  • Se trouve partout et dans toutes les gammes de prix,
  • Plusieurs goûts et intensités,
  • Plusieurs méthodes de consommation.

Inconvénients : 

  • Nécessite une infusion à chaud,
  • Sur-sollicitation du système nerveux : source de nervosité, d’anxiété…
  • Intolérance chez certaines personnes,
  • Jaunissement des dents,
  • Acidifiant, ce qui peut mener à des troubles digestifs,
  • Déshydratant,
  • Accoutumance,
  • Effet stimulant de courte durée,
  • Coup de fatigue a posteriori,
  • Production pas toujours responsable ou écologique.

Usage recommandé : 

  • Consommation quotidienne, selon sa tolérance à la caféine.
  • Consommation journalière maximale recommandée : 400 mg pour les adultes, 200 mg chez les femmes enceintes, 3 mg par kilo corporel chez les enfants et les adolescents.
  • A ne pas consommer après 16h pour ne pas perturber l’endormissement et le sommeil.
  • Effet hyperstimulant : molécule psycho-stimulante, coup de boost intense et rapide,
  • Stimulation des fonctions cérébrales et cognitives : concentration, mémoire, vigilance.

 

On est nombreux à être accro au café, notamment à celui du matin !

Ce que l’on apprécie chez lui, c’est son kick en début de journée. Néanmoins, après 2h seulement, les effets retombent, ce qui provoque un coup de fatigue. Cet effet hyper stimulant, intense, rapide à monter comme à descendre, entraîne l’accoutumance.

De plus, cette diffusion et absorption fulgurantes de la caféine ne sont pas tolérées par tous. Chez tout le monde, sa consommation doit rester modérée au risque d’avoir des effets secondaires : acidité gastrique, nervosité, jaunissement des dents…

Néanmoins, le café reste un anti-fatigue naturel incontournable, consommé partout dans le monde. Il agit sur les fonctions cognitives, comme la vigilance et la concentration.

Il aurait aussi des vertus contre certaines maladies : cirrhose, Parkinson, cancer du côlon…

Riche en antioxydants, le café en contient plus de 300 différentes sortes. Il permet ainsi de neutraliser les radicaux libres.

 

Conclusion

 

Tableau comparatif des différentes boissons énergisantes naturelles

Aliments et boissons anti-crampes : quels sont les meilleurs ?

Meilleurs aliments et boissons anti-crampes
Bien qu’extrêmement désagréables, les crampes sont le plus souvent bénignes. Ces contractions musculaires involontaires peuvent avoir des origines différentes. Il n’existe pas de médicaments pour les soigner ou les éviter. Cependant, une alimentation appropriée et une hydratation suffisante aident à prévenir les risques de crampes.  

Que sont les crampes ?

Les crampes correspondent à une augmentation de l’excitabilité des muscles et des nerfs, ce qui provoque des contractions musculaires bénignes, involontaires, passagères, inattendues et brutales. Elles peuvent être très douloureuses et conduire à une paralysie d’un ou de plusieurs muscles. Leur durée varie le plus souvent de quelques secondes à quelques minutes. Lorsque les contractions durent davantage, on parle de tétanie. Les crampes surviennent sans prévenir, généralement à la suite d’un effort physique en journée, mais pas seulement. Vous pouvez aussi ressentir une crampe au repos, au milieu de la nuit lorsque vous dormez tranquillement. Les crampes concernent tous les membres : les cuisses, les mollets, les pieds, les bras ou les mains.  

Pourquoi avons-nous des crampes ?

Il existe de nombreuses causes aux crampes. D’ailleurs, elles résultent essentiellement de facteurs combinés :
  • Maladies,
  • Troubles vasculaires et de la circulation sanguine,
  • Conditions climatiques (froid…),
  • Grossesse,
  • Traitements médicamenteux (diurétiques, laxatifs, traitements pour l’hypertension…) ou prise de pilule contraceptive,
  • Déshydratation,
  • Abus d’excitants (café, thé, alcool, tabac)
  • Carences nutritionnelles,
  • Production excessive d’acide lactique durant l’effort.
On distingue donc trois types de crampes : métaboliques, pathologiques ou idiopathiques (sans causes apparentes). Les crampes ont tendance à augmenter avec l’âge. Elles sont aussi fréquentes chez les sportifs et les femmes enceintes. Lorsque vous souffrez de crampes prolongées à des endroits inhabituels, elles peuvent découler d’une pathologie. Les maladies responsables de crampes sont multiples : neurologiques (tétanie, sclérose en plaques, Parkinson…), hormonales (myxœdème, diabète…), cardiovasculaires (cardiopathie, varices…), infectieuses (grippe, tétanos…), orthopédiques, anémie ou cirrhose hépatique. Les crampes apparaissent fréquemment lors d’un effort physique inhabituel, prolongé et intensif. Nos globules rouges et les cellules musculaires produisent davantage d’acide lactique pour compenser le manque d’oxygène. Les acides lactiques s’accumulent ainsi dans les fibres musculaires, ce qui provoque une acidose lactique. Cette accumulation résulte entre autres de la sudation de certains sels minéraux et d’autres nutriments. Il n’existe aucun remède médicamenteux pour stopper les crampes musculaires, à moins qu’elles ne soient dues à une pathologie, qui elle peut être prise en charge. Le meilleur moyen de soulager une crampe est le repos physique, les étirements et les massages. Pour prévenir l’apparition de crampes, on vous recommande de bien vous échauffer avant de pratiquer une activité sportive, de vous hydrater suffisamment, notamment pendant l’effort et de veiller à votre apport en nutriments.  

Le rôle de l’alimentation et de l’hydratation dans les crampes

La déshydratation et les carences nutritionnelles sont cause de crampes. L’alimentation et l’hydratation jouent ainsi un rôle majeur dans la prévention de ces contractions musculaires.   Déshydratation et crampes   Pour éviter les crampes, maintenez votre équilibre hydro-électrolytique grâce à un apport suffisant en eau et en sels minéraux. Ceci permet d’évacuer un maximum d’acides lactiques accumulés durant l’effort. Le fer est également un élément essentiel qui favorise le transport de l’oxygène vers les muscles. Les carences en potassium, sodium, magnésium et calcium, mais aussi en vitamines peuvent provoquer des crampes. Une alimentation équilibrée, source de nutriments, limite donc les risques de crampes. A contrario, certains aliments, riches en graisses saturées et en protéines animales comme la viande rouge, le fromage, les œufs, mais aussi le sucre raffiné contiennent de l’azote et acidifient l’organisme. Leur consommation est déconseillée aux personnes sujettes aux crampes. De même, les excitants, tels que le café, le thé, les sodas, l’alcool ou le tabac provoquent de l’acidité alimentaire et augmentent le risque de contractions musculaires. Ils empêchent la bonne élimination des déchets et favorisent la fragilité musculaire. De plus, ces boissons ont un effet diurétique, ce qui entraîne une déshydratation. Si l’ensemble des crampes ne résultent pas d’un déséquilibre alimentaire, une alimentation variée et riche en nutriments aident à prévenir les crampes.  

Les meilleurs aliments anti-crampes

Les meilleurs aliments anti-crampes sont ceux qui vous permettent de réduire vos carences en minéraux et en vitamines. Ainsi, les produits laitiers, les fruits et légumes, les oléagineux, les céréales complètes et les légumineuses sont à privilégier. Ils interviennent dans la transmission de l’influx nerveux et la contraction musculaire. Les fruits et légumes sont d’excellents antioxydants. Et les légumes verts (brocolis, choux, épinards, cresson…) empêchent l’acidification de votre organisme. Les fruits secs (abricots, pruneaux, raisins, dattes…), les légumineuses (lentilles, pois cassés, pois chiches…) et le miel sont riches en minéraux, surtout en potassium, magnésium et calcium. Les huiles végétales, elles, favorisent le transport des minéraux dans les fibres musculaires et leur utilisation. Tous ces aliments sont donc essentiels pour le tonus musculaire. Voici une liste des aliments à privilégier selon leurs apports :  

Les aliments riches en magnésium

Une carence en magnésium peut être à l’origine de crampes musculaires. Privilégier les aliments riches en magnésium permet de régénérer les muscles. Voici les aliments recommandés :
  • fèves,
  • haricots mungos,
  • céréales complètes : quinoa, pâtes et riz complets…,
  • oléagineux : noix, amandes…,
  • chocolat noir,
  • sardines,
  • laitue de mer,

Les produits laitiers : riches en calcium

  Les produits laitiers, riches en calcium, bons pour éviter les crampes   Les produits laitiers sont source de calcium. Ils permettent de renforcer le système immunitaire et favorisent la transmission de l’influx nerveux et l’oxygénation des muscles, ce qui est primordial pour prévenir les crampes. Le yaourt, le fromage blanc et le parmesan sont les champions en la matière. Il est intéressant de consommer ces aliments en concomitance avec des aliments riches en magnésium et en potassium.

Les aliments riches en potassium

Le potassium contribue à optimiser les transmissions neuromusculaires. Par exemple, la banane, riche en potassium, agit tel un anti-crampes naturel. Elle contient aussi du magnésium, des fibres, des vitamines B, C et E. Anti-oxydante, elle est un précieux allié lors de la récupération à l’effort. Elle permet ainsi de prévenir l’apparition de courbatures, de crampes et de fatigue chez les sportifs. Les fruits secs (pruneaux, figues, abricots…), le miel, le wakamé, le kombu japonais, les pommes de terre, les champignons, le sel de table, l’avocat, les légumineuses et les légumes frais fournissent également un apport intéressant en potassium.

Les aliments riches en fer

Un déficit en fer peut potentiellement impacter le transport d’oxygène vers les cellules musculaires. Pour éviter une carence en fer, privilégiez les abats, le boudin noir, les viandes blanches, les légumineuses et les algues comme la spiruline ou l’ao-nori. Optimisez l’assimilation de cet oligo-élément grâce à la vitamine C, contenue dans les agrumes, le cassis, la goyave…

Les aliments riches en cuivre

Le cuivre participe au renforcement musculaire. N’hésitez pas à favoriser la consommation d’aliments riches en cuivre, tels que les abats, le foie de veau, la sardine, le homard et les huîtres.

Les aliments riches en vitamine B

Les aliments riches en vitamine B sont intéressants pour prévenir les contractions musculaires. Le jambon sec est source de vitamine B1. Néanmoins, son taux important en sodium implique une consommation raisonnable. La vitamine B1 favorise l’influx nerveux et donc la contraction et la détente des muscles. La vitamine B6, quant à elle, participe à l’oxygénation des cellules et à l’élimination des déchets énergétiques. Les aliments tels que la gelée royale, les biscuits secs, le son de riz, les céréales natures ou au miel présentent un apport non négligeable en vitamine B6.  

Les meilleures boissons pour éviter les crampes

La déshydratation constitue l’une des principales causes de crampes. De plus, certaines boissons apportent des minéraux nécessaires pour prévenir leur apparition. Ainsi, s’il ne faut pas négliger son alimentation, il est également important de faire attention à ce que vous buvez.

L’eau

Pour éviter la déshydratation et les contractions musculaires, l’eau reste indétrônable.   L'eau, un incontournable anti-crampes   Quand votre organisme est déshydraté, les muscles ont tendance à accumuler les toxines, dont les acides lactiques. Les minéraux ne peuvent donc plus y accéder. La déshydratation se caractérise notamment par une réduction de la transpiration, une sueur odorante et des traces blanches de transpiration sur les vêtements. Il convient de boire chaque jour environ 1,5L d’eau. Lorsque vous faites du sport, buvez davantage. De manière générale, varier les eaux minérales permet de profiter de différents apports nutritionnels. Par exemple, Hépar, Courmayeur, Contrex sont riches en calcium, Saint-Yorre et Vichy-Célestin en sodium, Rozane et Hépar en magnésium.

Les boissons électrolytiques

Les boissons électrolytes sont également riches en minéraux, ce qui optimise l’hydratation et prévient le risque de crampes. Elles contiennent notamment du sodium, du potassium, du calcium, du magnésium et des glucides. Ces boissons sont particulièrement intéressantes pour les sportifs.

La valériane, l’infusion anti-crampes

La valériane est une plante qui contribue à relaxer les muscles. On la consomme avant le coucher pour bien dormir et éviter les crampes nocturnes.  

Les meilleurs compléments alimentaires pour lutter contre les crampes

Pour minimiser les risques de crampes, vous pouvez opter pour certains compléments alimentaires.

La phycocyanine, votre alliée anti-crampes

La phycocyanine est un pigment antioxydant issu de la spiruline. Sa structure chimique est très proche de celle de l’EPO. La phycocyanine contribue ainsi à booster naturellement vos performances et votre endurance. Cette molécule possède bien d’autres bienfaits à son actif. En effet, elle aide aussi à la récupération et à éviter les crampes et les courbatures. Son action sur l’oxygénation des muscles et contre l’accumulation d’acide lactique prévient les crampes. Elle contribue à transformer les lactates en ATP (énergie).   Phycocyanine, un anti-crampe naturel   De plus, la phycocyanine est un puissant anti-inflammatoire naturel. Notre produit phare anti-crampes est notre Spiruline Bleue +. Pour les grands sportifs, privilégiez notre produit encore plus concentré en phyco, l’Ultra Spiruline Bleue +.

La spiruline

Tout comme la phycocyanine, la spiruline réduit les lactates. La micro-algue permet de minimiser les douleurs musculaires. Sa composition exceptionnelle, à base de protéines, d’antioxydants, de minéraux et de vitamines, favorise l’anabolisme musculaire, soit la fabrication et la réparation musculaire. Ce superaliment contribue au rééquilibrage ionique : sodium, magnésium, calcium, indispensables pour prévenir les crampes. Découvrez ici notre Spiruline Paillettes.

Le cuivre

Le cuivre renforce le système immunitaire et le maintien des tissus conjonctifs. Cet oligo-élément, anti-oxydant, aide à prévenir les crampes. Pour des effets boostés et une meilleure assimilation, optez pour notre produit Cuivre & Spiruline Bleue.

Le potassium

Une carence en potassium peut provoquer des crampes répétées. Celle-ci résulte souvent de troubles digestifs, comme les diarrhées et les vomissements. Les personnes sous traitements diurétiques sont aussi plus enclines à une carence en potassium. Dans ce cas, il est intéressant de se supplémenter en potassium si votre alimentation ne parvient pas à couvrir vos besoins journaliers. Ce sel minéral joue un rôle essentiel dans la contraction musculaire et la transmission de l’influx nerveux.

Le magnésium

Lors de crampes répétées, il est également recommandé de recourir à une supplémentation en magnésium. Une carence en magnésium se caractérise par une faiblesse musculaire, des crampes et des engourdissements. Elle provient souvent d’une mauvaise alimentation, de maladies chroniques ou de l’âge. Un déficit en magnésium se caractérise notamment par l’excitabilité neuronale. En plus de prévenir les crampes en agissant directement sur le fonctionnement musculaire, ce sel minéral vous aide à mieux dormir et à lutter contre le stress. Or, la fatigue et le stress peuvent indirectement causer des crampes. L’action de cet oligo-élément est décuplée en combinaison avec de la vitamine B6.  

Les vitamines

Les vitamines sont également essentielles pour la prévention des crampes. Parmi elles, les vitamines B (B1, B6 et B12), D et E agissent sur le bon fonctionnement musculaire. La vitamine E, antioxydante, favorise l’élimination des lactates. Les crampes et les muscles douloureux sont aussi signe de carence en vitamine D. La vitamine B12 intervient dans la transmission de l’influx nerveux, c’est pourquoi son déficit provoque crampes et courbatures. Les vitamines B proviennent majoritairement de la viande. La spiruline est une source végétale de vitamine B.

Quels sont les aliments et boissons à absolument éviter si vous avez des crampes

Le café : une boisson qui déshydrate et déminéralise

Diurétique, la caféine favorise la déshy­dratation. Les minéraux sont éliminés dans les urines, ce qui entraîne une déminéralisation et une déshydratation. On limitera la consommation de thé pour les mêmes raisons. Tous les produits excitants comme le café et le thé sont source d’acidité alimentaire, ce qui accroît le risque de contractions musculaires.

La charcuterie : à éviter si vous avez des crampes

De la même manière, la charcuterie et les viandes grassesacidifient l’organisme à cause de leur taux élevé en protéines animales et en matière grasse saturée. À éviter donc si vous êtes sujet aux crampes.

L’alcool : une mauvaise habitude, cause de crampes

L’alcool accélère la diurèse (élimination des urines), ce qui entraîne une déshydratation et une perte de sodium, de potassium, de magnésium et de vitamine B1. L’alcool et le tabac sont comme le café et le thé des excitants et des acidifiants. L’alcool fait même baisser le tonus musculaire et augmente le risque de blessures, surtout chez les sportifs. Une consommation régulière accroît les risques de crampes nocturnes dans les jambes.

Les aliments et boissons trop sucrés : des déclencheurs de crampes

Le sucre raffiné, contenu dans tous les produits transformés sucrés, peut provoquer des crampes musculaires.   Sucre raffiné en excès, source de crampes   Les sodas et les boissons énergisantes, de type Red Bull, entraînent de l’acidose lactique, qui favorise l’apparition de contractions musculaires. Bref, pour prévenir les crampes et pour votre santé en général, faites l’impasse un maximum sur ces aliments et boissons !

Conclusion

Les crampes surviennent principalement pendant ou à la suite d’un effort physique. Cependant, d’autres facteurs sont propices à leur manifestation. Les crampes répétées peuvent, par exemple, découler de différentes pathologies, mais aussi de carences nutritionnelles. La déshydratation augmente aussi l’apparition de contractions musculaires involontaires. Ainsi, une alimentation variée et équilibrée, couplée à la consommation suffisante de boissons appropriées peut en limiter les risques.  

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Stress oxydatif et radicaux libres : quels traitements naturels ?

Stress oxydatif et radicaux libres, les traitements naturels

Le stress oxydatif, cela vous parle ? Il s’agit d’un des pires ennemis de l’organisme humain, responsable du vieillissement cutané et de nombreux problèmes de santé.

Pour en comprendre le mécanisme, nous vous expliquons ce qu’est le stress oxydant et quelles en sont les causes. Vous verrez que le combat n’est pas perdu d’avance et qu’il existe des astuces naturelles pour lutter contre les radicaux libres et le stress oxydatif.

 

Qu’est-ce que le stress oxydatif ?

Le stress oxydatif est également connu sous le nom de stress oxydant ou de pression oxydative. Il ne doit pas être confondu avec le stress psychique.

Chaque jour, nos cellules subissent une série d’agressions, causes de leur altération.

Le stress oxydatif résulte principalement d’un déséquilibre entre radicaux libres et antioxydants.

L’oxygène que l’on respire est en partie responsable de ce phénomène. Si cet élément est vital, il entraîne pourtant des réactions d’oxydation, sources de radicaux libres.

Sommairement, l’oxydation fait rouiller notre organisme.

La pression oxydative n’est pas une maladie, mais elle peut causer différents problèmes de santé.

 

Quels sont les symptômes du stress oxydatif ?

Le stress oxydant endommage notre ADN et favorise le vieillissement cellulaire et donc celui de notre peau. Il entraîne l’apparition de cheveux blancs et de rides, le dessèchement cutané, la baisse de la vue ou encore un ralentissement global de notre métabolisme.

À terme, il pourrait même entraîner des inflammations, des maladies chroniques évolutives, des maladies dégénératives, voire des cancers.

Parmi les maladies causées par le stress oxydatif, on compte la maladie de Parkinson, la maladie d’Alzheimer, les risques d’infarctus, de maladies cardiovasculaires et d’AVC. Il serait également responsable de l’apparition et de l’évolution de la cataracte et d’arthrite rhumatoïde.

Chez les sportifs, une pression oxydative trop importante endommage les cellules musculaires et impacte les performances, la force musculaire et l’endurance. Le risque de blessures augmente et la fatigue devient plus pressante.

 

Le rôle des radicaux libres dans le stress oxydatif

Les radicaux libres agressent nos cellules, ce qui entraîne la formation de stress oxydatif.

On les appelle aussi ERO, espèces réactives de l’oxygène.

Le corps produit naturellement les radicaux libres, mais ces molécules proviennent également de sources extérieures (radicaux libres exogènes).

Si le déséquilibre entre ERO pro-oxydants et antioxydants provoque l’oxydation de l’organisme, les radicaux libres ne sont pas pour autant des molécules ennemies. En effet, ils permettent la stagnation cellulaire et de lutter contre certains virus.

Seul le déséquilibre est mauvais pour l’organisme lorsque la défense oxydante ne suffit plus. Cela signifie que nous sommes en déficit en matière d’antioxydants, boucliers naturels contre les radicaux libres.

Le tout est donc de maintenir l’équilibre entre ERO et antioxydants, ce qui n’est pas toujours évident, car il dépend aussi de facteurs extérieurs sur lesquels nous n’avons pas toujours le contrôle.

 

Quelles sont les principales causes de radicaux libres ?

Les radicaux libres sont générés par notre organisme lorsque l’on respire de l’oxygène.

Leur production dépend également de nombreux facteurs environnementaux, tels que les rayons UV, le tabagisme, la consommation d’alcool, une alimentation trop riche, une pratique sportive intensive, la sédentarité, la pollution, le stress et la fatigue.

Le soleil favorise la production de radicaux libres

Les rayons UV favorisent la production de radicaux libres par l’organisme.

Lors d’une surexposition au soleil, nous prenons des coups de soleil qui résultent du stress oxydatif.

La pollution est une cause de déséquilibres de nos radicaux libres

La pollution et la poussière dégradent notre peau à cause d’une surproduction de radicaux libres. Elles accélèrent le stress oxydatif en aggravant les effets de l’exposition au soleil.

Concrètement, la peau devient sèche, terne, sensible et vieillissante. Des tâches, des imperfections et des pores obstrués peuvent aussi apparaître.

Un mauvais régime alimentaire peut stimuler les radicaux libres

Une alimentation déséquilibrée stimule la production d’ERO.

Les pesticides et les conservateurs, notamment contenus dans les aliments transformés industriellement, entretiennent aussi le déséquilibre entre radicaux libres et antioxydants.

Le tabac, c’est tabou (si vous ne souhaitez pas de radicaux libres)

Le tabac se compose de goudron dans lequel se trouvent de nombreux produits générateurs d’oxydants.

Certains médicaments peuvent accroître la production de radicaux libres

Les médicaments contiennent différents composés chimiques. Certains d’entre eux sont susceptibles d’accroître la production de radicaux libres, notamment les anti-inflammatoires non-stéroïdiens.

Sports à haute intensité et d’endurance, une source potentielle de stress oxydant

Une chose est sûre, la pratique raisonnée d’une activité physique est essentielle pour rester en bonne forme et en bonne santé.

A contrario, lorsque l’on pousse excessivement nos capacités, notre corps doit trouver un moyen de produire plus d’ATP, la molécule d’énergie. Ce phénomène engendre la production de radicaux libres.

Les sports intensifs et d’endurance, comme le cyclisme, les marathons, l’ultra trail, le HIIT ou le CrossFit, peuvent donc entraîner des dommages structurels sur notre organisme, particulièrement au niveau des cellules musculaires.

La pratique d’exercices trop intensifs, surtout lorsqu’elle est occasionnelle, cause un déséquilibre entre radicaux libres et antioxydants, dû à la surconsommation d’oxygène pendant l’effort.

Dans ce cas, vous ressentez une fatigue précoce, une diminution de votre force musculaire, des crampes, des courbatures et parfois quelques troubles digestifs.

 

Peut-on vraiment supprimer le stress oxydatif ?

Le stress oxydatif ne peut disparaître comme par magie. Néanmoins, il est possible de rééquilibrer la balance entre oxydants et antioxydants.

Il existe divers moyens de lutter naturellement contre la pression oxydative en favorisant la production et l’assimilation d’antioxydants.

 

Comment lutter naturellement contre le stress oxydatif et les radicaux libres ?

Pour combattre le stress oxydant, la règle numéro un est d’opter pour un mode de vie sain.

De bonnes habitudes permettent de limiter l’exposition aux radicaux libres et de stimuler le nombre d’antioxydants.

Cela passe par :

  • une alimentation équilibrée et bio,
  • l’arrêt de consommation d’alcool et de tabac,
  • la protection de votre peau aux rayons UV (écran total, vêtements, chapeau…),
  • une pratique sportive régulière et modérée.

Avoir une alimentation saine et riche en antioxydants : une étape essentielle pour lutter contre les radicaux libres

Limiter la production de radicaux libres est possible grâce à une alimentation saine et équilibrée, riche en fruits et légumes. On parle de “manger l’arc-en-ciel”.

Les aliments gras et sucrés se consomment avec modération.

Privilégier les produits bio et locaux permet de réduire son exposition aux pesticides.

Il existe des aliments connus pour leurs propriétés antioxydantes et riches en vitamine C qui protège vos cellules du stress oxydant, comme les :

  • légumes orange (carottes et courges…) ;
  • légumes crucifères (choux, brocolis, blettes, navet, radis…) ;
  • épinards et l’artichaut ;
  • agrumes ;
  • pommes, mangues, abricots et kiwis ;
  • baies et fruits rouges (mûres, cassis, myrtilles, framboises, fraises…) ;
  • aliments riches en oméga-3 (sardines, maquereaux, graines de chia, huile de lin…) ;
  • certains aromates (gingembre, curcuma, cumin, thym, persil, clou de girofle…).

Les graines et fruits à coques sont riches en vitamine E, élément essentiel pour lutter contre la pression oxydative.

N’hésitez pas non plus à consommer des aliments sources de zinc, de sélénium et de cuivre.

Les boissons riches en flavonoïdes comme le cacao, le thé vert et le café sont aussi intéressantes.

Pratiquer une activité physique régulière : un moyen naturel de réguler vos radicaux libres

Adopter une bonne hygiène de vie va de pair avec la pratique d’une activité physique.

Faites du sport de façon régulière et modérée et optez pour un sport respectueux de votre physiologie. Tout comme la sédentarité, la pratique sportive intensive n’est pas recommandée. Pratiquez minimum une demi-heure quotidienne d’exercice modéré tel que la marche, le vélo, la natation ou même le jardinage.

Le rythme dépend principalement de votre âge. De 6 à 20 ans, nous recommandons la pratique d’exercices physiques modérés pendant 1h par jour. Entre 20 et 65 ans, pratiquez des exercices sportifs modérés pendant 30 minutes, 3 à 5 fois par semaine. Enfin, après 65 ans, intégrez à votre quotidien une activité physique légère ou modérée. Il est important d’entretenir son équilibre, sa coordination et sa souplesse.

Limiter votre exposition au soleil : indispensable pour lutter contre le stress oxydatif

Pour lutter naturellement contre les radicaux libres, il est primordial de limiter son exposition au soleil.

 

Exposition au soleil et stress oxydatif

 

Lors de vos sorties et voyages, portez un chapeau et de la crème solaire à indice de protection élevé.

Contrôler votre stress limite également votre stress oxydant

Le stress psychique et chronique a tendance à stimuler la production de radicaux libres. En limitant votre exposition au stress, vous participez à équilibrer la balance entre oxydants et antioxydants.

Évitez le plus possible de vous confronter à des situations stressantes.

Il existe aussi des moyens de gérer son stress, tels que la méditation, le yoga, la sophrologie, les promenades dans la nature, la lecture ou le Qi Gong.

Ne pas vous exposer à la pollution limite votre production de radicaux libres

Nous sommes confrontés quotidiennement à la pollution : gaz d’échappement, produits ménagers, peintures…

Limiter son exposition à la pollution peut donc sembler difficile. Cependant, vous pouvez aérer régulièrement votre intérieur, pratiquer une activité sportive en extérieur en dehors des pics de pollution, utiliser des produits ménagers respectueux de l’environnement et non-toxiques.

 

Les meilleurs compléments alimentaires 100 % naturels pour lutter contre les radicaux libres et le stress oxydatif

Dans certains cas, le recours à une supplémentation peut être nécessaire pour minimiser le stress oxydatif.

Alternez des cures de 3 mois de compléments alimentaires antioxydants avec des pauses de 3 mois. Attention, une consommation exagérée de suppléments peut avoir une action contradictoire. N’hésitez pas à demander conseil à votre médecin.

La phycocyanine : le meilleur complément alimentaire contre les radicaux libres toutes catégories

La phycocyanine, concentré actif de la spiruline, est un puissant antioxydant. En effet, elle se compose de zinc, de caroténoïdes et d’enzymes tels que les superoxydes dismutases (SOD), efficaces pour lutter contre le stress oxydatif. Elle serait ainsi jusqu’à 20 fois plus puissante que la vitamine C et 16 fois plus que la vitamine E.

C’est pourquoi l’extrait de spiruline permet de réduire les effets néfastes des radicaux libres et de garantir la protection et le renouvellement cellulaire.

La posologie recommandée dépend de votre situation.

Lors d’une cure d’entretien, nous vous conseillons notre Spiruline Bleue, entre 1 et 3 mois, à raison de 2 cuillères à café par jour (20 mg de phyco).

Pour protéger votre corps du stress oxydant, booster votre récupération et vos performances sportives, optez pour une cure de Spiruline Bleue+ à raison de 2 cuillères à café par jour (60 mg de phyco).

Pour les sportifs intensifs, en recherche de repousser leurs limites, notre Ultra Spiruline Bleue+ est la plus adaptée. Elle se consomme comme suit :

  • Endurance : 2 cuillères à café par jour (120 mg de phycocyanine) ;
  • Récupération : 1 à 2 cuillères à café par jour après l’effort ;
  • Optimisation : 2 cuillères à café le matin à jeun les jours d’entraînement et une cuillère à café après l’effort.

La vitamine C : un complément alimentaire naturel intéressant contre le stress oxydatif

La vitamine C contribue aussi à protéger vos cellules contre la pression oxydative.

 

Vitamine C et phycocyanine pour lutter contre les radicaux libres et le stress oxydatif

 

Pour des bienfaits maximisés et une meilleure assimilation, nous vous recommandons notre Vitamine C & Spiruline Bleue. En cure d’entretien, prenez 2 cuillères à café par jour pour bénéficier de 480 mg de vitamine C et de 20 mg de phycocyanine.

Ce complément alimentaire combine les vertus de la vitamine C et de la phycocyanine. Retrouvez notre article au sujet du combo Vitamine C et phyco pour en savoir plus sur ses propriétés.

Conclusion

Si le stress oxydatif ne se soigne pas, il reste possible de contrôler le déséquilibre entre radicaux libres et antioxydants.

Pour cela, il suffit d’adopter un mode de vie sain qui se base sur une alimentation équilibrée et variée, la pratique sportive régulière et modérée et la limitation des facteurs néfastes (stress, pollution, rayons UV, tabac, alcool).

Si cela ne suffit pas à renverser la balance, vous pouvez recourir à des compléments alimentaires naturels, tels que la phycocyanine, la vitamine C, le zinc ou encore le cuivre.

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